19/02/2013

L’association Artsouk lance un projet en faveur de la réhabilitation du site de Ouirgane.

Source : LE MATIN  - Publié le : 17 Février 2013 - Samira Ezzel

L’association Artsouk se mobilise autour du patrimoine marocain, de l’éducation et du développement durable. Grâce à l’effort des Marocains résidant à l’étranger, des partenaires locaux et des ressources in situ, l’association a décidé de réhabiliter un site naturel reconnu pour son potentiel touristique : le village de Ouirgane, situé à 70 km de Marrakech. Ce projet d’aide au développement s’articule autour de trois volets : la réhabilitation du village, le réaménagement du sentier et la revalorisation du patrimoine.
Le village de Ouirgane, à 70 km de Marrakech, est le point de passage privilégié pour traverser le Haut Atlas. Idéalement situé entre Asni et la mosquée Almohade de Tinmal, le village de 1 300 habitants est composé d’une population essentiellement agro-pastorale. Les touristes qui s’y rendent connaissent, de longue date, les lieux incontournables que sont «Le Sanglier qui fume» et «La Roseraie». De nombreuses pistes d’excursions dans le parc national du Toubkal débutent ou passent par Ouirgane.

12/02/2013

10ème édition du Festival Cinéma et migrations à Agadir

Source : M'bark Chbani- Souss Annonces publié le 08/02/2013

Sous le Haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, l'Association l'Initiative culturelle organise la 10ème édition du Festival Cinéma et migrations du 04 au 09 mars 2013 à Agadir.
Cette édition verra la projection de longs métrages retenus par le comité d'organisation pour la compétition   officielle selon des critère de sélection fixés par le règlement du festival, à savoir des films et des documentaires qui traitent du phénomène des migrations ou dont la réalisatrice ou le réalisateur sont des Marocains ou des étrangers issus de l'immigration, et qui ont été produits au cours des deux dernières années.
Présidé par Driss El Yazami, président du Conseil national des droits de l'Homme et du CCME, le jury du festival est composé de Mustapha Kebir Ammi, écrivain et romancier algérien, Ariane Ascaride, actrice et réalisatrice française, Maria Pilar, responsable des acquisitions des films à Canal plus espagnol et Farida Belyazid, réalisatrice marocaine.

Festival : à la découverte du court métrage de Tiznit

Source : Ouafaâ Bennani - Souss Annonces publié le 11/02/2013

Après les deux premières éditions qui ont constitué pour les organisateurs deux belles expériences sur le terrain, la ville de Tiznit fête son 3e anniversaire en matière de cinéma, en accueillant les courts métrages de plusieurs pays du monde.
A vrai dire, les deux premières années où nou  s nous sommes intéressés au volet technique des films étaient très importantes à plus d'un titre. A partir de cette année, nous allons nous attaquer aussi au côté académique en programmant un master class qui sera animé par la réalisatrice française, Claire Simone. Cette 3e édition se distingue par l'invitation de plus de pays étrangers que les années d'avant. Ce qui est une opportunité pour nos jeunes cinéastes de voir les travaux de cinéma des autres nations», souligne le directeur du Festival, Jamal Idoumjoud.

09/02/2013

Salima Naji Sauveuse de l’oubli

Source : La vie éco - Sana Guessous 

L’architecte et anthropologue Salima Naji restaure des vieux monuments du Sud du Maroc. Elle redonne la mémoire aux Marocains, obsédés par l’Occident, oublieux de leur histoire et de leurs antiques gloires.

Commencent alors des échappées belles à Ouarzazate, Dadès, Tafilalet, Figuig, le Haut-Atlas… Des contrées que Salima Naji connaît depuis toujours. «Enfant, je voyageais beaucoup avec mon père, géomètre et topographe. Ma mère française adorait ces endroits, elle aussi. Cet amour-là m’a été transmis par eux deux. Nous allions chez les gens, spontanément, parce qu’il n’y avait pas d’hôtels à l’époque. Nous étions donc pleinement immergés dans l’atmosphère. Cette vie m’a permis de grandir, de me construire sans préjugés. Et, surtout, d’avoir envie de tout mettre en œuvre pour sauver le bâti de ces régions, mais aussi les hommes. Car derrière les bâtisses, il y a les humains, on l’oublie hélas trop souvent».

08/02/2013

Retour dans le Maroc des années 1900

Sources : leconomiste.com - Edition n° 3964 du 2013/02/08

Les amateurs d’histoire découvriront avec bonheur «Le Maroc d’Antan-le Maroc à travers la carte postale ancienne», de Philippe Lamarque. Paru en 2008, ce beau livre est toujours un succès littéraire que l’on prend plaisir à lire et à offrir. L’ouvrage, publié chez HC éditions,  raconte le Maroc du début du X
Xe siècle à travers 500 cartes postales uniques, dont certaines sont publiées pour la première fois et qui ont été empruntées à la collection  d’Olivier Bouze.
C’est un périple inédit dans le Maroc, de Tanger aux portes du Sahara, de l’Oriental à la côte atlantique, que propose donc l’auteur via cette série de clichés de vacances et de voyage que l’on aime habituellement partager avec ses proches et amis.  La vie quotidienne des Marocains à cette période est retracée en images ponctuées de données historiques et sociologiques.  Se situant entre le récit de voyage et le guide touristique, l’ouvrage offre un aperçu d’un Maroc authentique et pittoresque aujourd’hui disparu et que l’on découvre avec nostalgie:  l’arrivée des voyageurs au port de Casablanca, le développement urbain autour de la place de France (place des Nations-Unies aujourd’hui), le port et le marché de Fedala (Mohammédia), l’animation à Jamaa El Fna à Marrakech, les souks ruraux, la culture sur les plaines du Haouz, les petites villes de Midelt, Tissaf et Khénifra, le Haut-Atlas et ses paysages uniques, Azemmour, Mazagan, Mogador, la kasbah d’Agadir.